Une nouvelle maison

Sorka adressa un sourire ravi à Wal avant de lui montrer les meubles à déménager. D'abord une grande table, ensuite le fauteuil, puis le lit et la commode. Et il y a avait toutes les étagèrent à fixer aux murs !!!

Tu mangeras après gourmant !!

Elle posa une grosse bise sur sa joue et l'aida à déplacer les meubles dans la mesure de ses faibles moyens.

oui biensur petite soeur ,et ne t'inquiete pas pour le meuble ,je m'en charge sans probléme !^^

waldi commença a prendre la commode et a la transporter et demanda a

sa soeur ou il devait la poser,puis vint le tour au lit ,le déménagement aller

bon train !tout se passer dans la joie et la bonne humeur !

Waldy avait terminé de fixer les étagères et Sorka les recouvrait de tout le bric à brac que Kerowin avait accumulé au cours de sa vie. Elle y rajouta des tas de bouquets de fleurs un peu partout, cueillis ce matin dans son jardin.

La pluie commença à tomber dans la matinée de sorte que Sorka passa ensuite son temps à courir, une serpillèe à la main, derrière Waldy qui allait et venait de l'extérieur vers l'intérieur, ramenant boue et saleté avec lui. Si bien qu'après une heure de ce régime, elle rendit les armes épuisée, se résignant à voir son parquet tout propre être irrémédiablement salis.

Finalement, elle décréta une pause bien mérité par tous.

Allez tout le monde ! Venez manger !

Elle sortit de son panier un succulent pâté en croûte, ainsi que du pain frais, du fromage et en dessert une superbe tarte aux fraises. Les enfants s'assirent en cercle par terre et mangèrent avec enthousiaste.

Tiens Wal, mange, tu l'as bien mérité...déclara-t-elle en lui tendant une assiette.

waldi arriva a 19h00 précise chez sa soeur kéro ! il retrouva sa soeur sorka et l'embrassa trés fort ..

noz vat ! comment tu vas sister?

Sorka bisouilla son frère, regardant avec quelque inquiétude son panier. En effet les hommes ne sont pas réputer pour leur talent culinaire.

Qu'est-ce-tu nous a préparé ?

waldi ayant invité sa soeur sorka pour la remercier de ses paniers garnis ,je

mis au fourneaux pour préparer un délicieux repas ! il commença par une petite

salade a base de laitue quelques pommes de terre sautés a la poéle et

quelques lardons légerements dégraissé a la sauteuse .ensuite il prépara un

bon filet de boeuf en brioche avec des haricots verts persillés ,et un

poirier en desert

Kerowin était contente. Pour plusieurs raisons. D'abord, parce qu'elle avait eu de la visite. Sorka et Waldi, son frère, étaient venus l'aider à emménager. L'installation avait duré quelques jours, et enfin, deuxième motif de satisfaction, Kerowin était enfin définitivement installée.
La maison ressemblait exactement à ce qu'elle souhaitait.
Finalement, complètement vannés, Kerowin, Sorka, Waldi et les enfants se laissèrent tomber, qui sur le sol, qui sur les sièges, avec des soupirs de soulagements.

On a drôlement bien travaillé tous ensemble. Maintenant, je vous sert à boire, vous l'avez bien mérité. Il faudra que vous veniez tous pour pendre la crémaillière. Et par pitié Sorka, essaye de ramener ton jules. Et Emmène Meil aussi, ça me fera plaisir.

Sorka avait toujours eu une légère tendance à exagérer. D'accord, Kerowin était loin d'être aussi douée que sa soeur en cuisine, ni aussi patiente pour se lancer dans des recettes archi compliquées. Mais elle était loin d'être aussi nulle que Sorka voulait bien le faire croire, sinon elle n'aurait jamais pu pratiquer la médecine comme elle l'avait fait il n'y avait pas si longtemps.
Une fois qu'elle eut assimilé les bases avec Sorka, elle s'enferma dans sa propre cuisine pour se mettre à l'oeuvre. Apparemment, Salomon et Ulysse apprécièrent le résultat. Les deux bestioles étaient piquées à côté de leur maîtresse, à l'affut du moindre morceau qui passait à leur portée. Au fond, Kerowin ne s'en sortait pas si mal. Il ne lui restait plus qu'à décider ce qu'elle préparerait pour sa crémaillère et à lancer les invitations. Elle aurait bien aimé réunir toute sa famille à cette occasion. Pour Sorka, elle savait qu'elle viendrait forcément, et avec les bouts de chou en prime. Kerowin adorait les enfants. Waldy devrait venir sans problème, lui aussi. Elen, c'était une autre histoire. Kerowin n'était même pas sûr qu'il vienne avec Sorka. Elle l'avait invité plusieurs fois, mais il n'avait jamais mis les pieds chez elle. Kerowin commençait à se demander s'il l'appréciait vraiment. Enfin, Il restait Meil, mais elle était partie avec l'armée, elle ne serait probablement pas revenue et c'était dommage.
Kerowin poussa un profond soupir tout en remuant fermemant sa crème aux oeufs. Dressé sur ses pattes arrières, le nez frémissant, Ulysse la regardait faire avec intérêt.

Toi, je sais ce que tu attends...

Kerowin recueillit un peu de crème sur le bout de son doigt et le tendit au rat. Pendant qu'elle lui tournait le dos, Salomon, de l'autre côté du saladier, tendait le cou pour essayer de goûter lui aussi à son contenu.

Eh!!! Je t'ai vu, toi! Si tu veux manger ma crème, tu me demandes l'autorisation avant. Et comptes pas sur moi pour te nourrir au doigt, tu vas encore me pincer.

Effectivement, Kerowin arborait à l'index et au majeur gauche de superbes pansements qui témoignaient de son expérience.

Demain, je fais une surprise à Sorka et Elen. Je leur amène le casse-croûte. Alors ne me mangez pas tout, vous deux!

Kerowin était en train de préparer le pique-nique qu'elle avait l'intention d'apporter à Sorka quand un bruit sourd la fit sursauter. Salomon poussa un cri et Ulysse déguerpit sous une cathèdre. Kerowin se tourna vers la fenêtre d'où provenait le bruit.

Oh non! C'est pas vrai! Il lui manque vraiment une case à cette bestiole!

Le pigeon de Sorka avait une fois de plus oublié que la fenêtre était fermée. ça lui arrivait un peu trop souvent.
Kerowin lui ouvrit et pendant qu'il essayait de se ressaisir, elle détacha le message qu'il portait à la patte. Elle poussa un cri de joie. Sorka lui annonçait que leur mère était arrivée le matin même. Et mieux encore, que leur grand-mère l'acompagnée. 6 ans que Kerowin ne lesavait pas vu. Elle trépignait d'impatience.
En toute hâte, elle finit de remplir son panier, démurgea Ulysse de sous la cathèdre et le chargea sur son épaule puis elle partit chez sa soeur suivi de Salomon.

Oh mince! J'ai oublié le pigeon!

Elle fit demi tour pour le faire sortir avant qu'il ne démolisse la fenêtre contre laquelle il se jetait en espérant sûrement passer à travers.

Kerowin avait été enchantée de revoir sa mère et sa grand-mère depuis si longtemps. Et comme Sorka manquait de place pour héberger tout le monde, Kerowin avait été encore plus heureuse d'accueillir sa grand-mère. Elle en avait profité pour lui extorquer quelques recettes ancestrales secrètes et des conseils et astuces en pagaille.
Tous les jours, les deux femmes allaient rendre visite à Sorka, mais Kerowin ne les accompagnait pas toujours. Elle travaillait de ci de là en ville, aux champs, à la mine, parfois à l'église.
Un après midi, Kerowin vit arriver du bout de la rue toute une troupe assez bruyante qui se dirigeait de son côté. Ce n'était pas difficile de deviner qui la composait: les enfants, bien sûr. Ils étaient accompagnés de Marlyse et de la grand-mère des jumelles. Kerowin embrassa tout le monde et les enfants filèrent aussitôt à la recherche de Salomon et Ulysse.

Et si on parlait, proposa Marlyse.

De quoi?

Marlyse regarda sa fille en haussant un sourcil.

A ton avis? Raconte-nous tes voyages.

Les trois femmes gagnèrent le salon et s'assirent. Kerowin commença à raconter tout ce qui lui était arrivé depuis qu'elle avait quitté la Bretagne. Il n'y avait qu'un passage qu'elle appréhendait, mais elle n'y était pas encore et de toute façon, elle ferait tout pour l'éviter, ou au moins l'édulcorer au maximum, même si elle se doutait que sa mère et sa grand-mère finirait par lui faire cracher ce morceau. Elle avait toujours aussi peut envie d'en parler, même après s'être confiée à sa soeur. Au pire, elle leur montrerait la lettre qu'elle avait écrite à Sorka. Autant retarder le moment le plus possible. Alors elle se mit à leur raconter avec un luxe incroyable de détails les différentes cours où elle avait séjourné, les villes qu'elle avait visitées...

Kero! Kero! Poopie est venu et il est reparti en courant avec Salomon et Ulysse!

Klara débarqua comme un boulet de canon dans la maison, les autres enfants à la traîne. Kerowin sursauta. Au fond, cette interruption l'arrangeait bien, elle en était à raconter son séjour en Savoie. On approchait de Carcassonne.

Qu'est-ce qui se passe? Ils sont partis chez Sorka?

Klara hocha la tête mais Kerowin ne la vit même pas. Elle était déjà dans l'escalier et partait à la recherche de sa trousse de médecine qu'elle n'avait pas sorti de son coffre depuis des mois. Elle redescendit en sautant les marches au risque de se casser la figure.

Vite! Sorka est en train d'accoucher. Il faut que j'y aille. Tout le monde vient avec moi. Les enfants, vous pouvez rester là si vous voulez, mais si vous me suivez, vous restez tranquille et pas dans nos jambes, d'accord?

Sur ce, elle quitta la maison en trombe, les enfants, sa mère et sa grand-mère sur les talons.

L'accouchement de Sorka avait été plutôt difficile et Kerowin était complètement lessivée en rentrant chez elle. Elle avait passé plusieurs jours au chevet de sa soeur, et malgré la présence de sa mère, sa grand-mère et d'Elen, elle n'avait quasiment pas dormi. Elle était contente de rentrer, même si elle avait ramené avec elle les orphelins dont Sorka avait la garde. De toute façon, les enfants n'avaient qu'une idée en tête, aller jouer dans la grange, et les plus âgés ayant l'habitude de veiller sur les plus jeunes, Kerowin n'avait aucun soucis à faire. Elle les laissa donc sortir et s'installa devant la cheminée avec une bonne tasse de tisane.

Kerowin! Kerowin! Regarde ce qu'on a trouvé!

Le cri aigu de Loan tira Kerowin de sa somnolence. Les enfants étaient tous groupés autour d'elle et Pierrick tenait quelque chose des deux mains qu'il tendait vers elle.

Regarde comme il est bizarre! Il est pas comme Ulysse!

Kerowin se pencha pour voir et laissa échapper un cri de surprise.Ce que Pierrick lui montrait, c'était un rat. Mais effectivement, il n'était pas comme Ulysse. Il était entièrement blanc, et ses yeux étaient rouges. Il était petit et assez chétif, il ne cherchait même pas à s'enfuir ni à mordre. Ses congénères avaient dû le rejeter à cause de sa particularité. Kerowin le pris doucement des mains de Pierrick et se leva.

Venez, on va s'occuper de lui et le soigner. Je vais vous montrer comment on fait.

On va le garder? demanda la petite Constance, pleine d'espoir.

Kerowin hésita et jeta un coup d'oeil vers Ulysse. Elle s'accroupit pour lui présenter le rat albinos et Ulysse le renifla un instant avant de commencer à le débarbouiller. Kerowin sourit.

Oui. On va le garder.

Maintenant que Sorka avait réussi à s'organiser et surtout à se reposer, Kerowin décida de lui ramener les enfants. Ils avaient tous hâtent de revoir les deux bébés. Sauf peut-être Loan. La petite avait l'air tristounet au moment de partir.

ça ne va pas, ma puce? Qu'est-ce qui t'arrives?

Loan renifla et haussa les épaules.

Je peux pas rester avec toi?

Tu voudrais?

Loan acquiesça vigoureusement.

Oh oui alors!

Et bien dans ce cas il faudra en parler à Sorka, d'accord? Mais tu es sûre que tes frères et soeurs ne vont pas te manquer si tu viens vivre ici?

Loan était sûre que non, et de toute façon, elle pourrait aller les voir chez Sorka quand elle voudrait, puisque Kerowin y allait tout le temps.
Kerowin était enchantée à l'idée d'adopter la petite. Elle était mignonne, et ça comblerait son besoin de materner. Loan mit sa main dans la sienne et lui fit un beau sourire. Puis Pierrick s'avança à son tour avec Hector, le rat albinos, dans les bras.

Tu t'occuperas bien de lui, hein? Et tu l'emmèneras chez Sorka des fois, pour qu'on le voit.

Kerowin promit, et tout le petit monde quitta la maison.

Kerowin se sentait bizarre ces derniers temps. Elle n'arrivait pas à mettre un nom sur ce qui lui arrivait.
D'abord, il y avait Sorka qui hésitait à quitter Fougères pour échapper à l'invasion qui menaçait. Kerowin avait tenté de la dissuader, mais Sorka était têtue, c'était de famille... Puis elle était partie pour Laval chercher un mandat et lui avait confié les enfants et les jumelles. Le voyage de Sorka n'avait pas duré très longtemps, mais quand elle était revenue, elle s'était rendue compte que le mandat n'était pas le bon et qu'elle devait retourner à Laval. Cette fois, Elen vanait avec elle, et il avait insisté pour emmener les jumelles et Constance. C'était cela qui avait perturbé Kerowin. Elle avait toujours eu l'impression qu'Elen ne l'appréciait pas vraiment, ou du moins qu'il ne lui faisait pas confiance, et elle se disait que c'atait pour cela qu'il avait voulu emmener ses filles, alors qu'il savait très bien à quel point c'était dangereux d'emmener des enfants aussi jeunes sur les routes. Kerowin avait beau essayé de se raisonner, de se dire qu'elle se trompait et que c'était normal qu'il veuille être avec ses filles, elle n'y arrivait pas.
Ensuite, et c'était le bon côté des choses, il y avait Dark. Ils s'étaient retrouvés un soir sur les rives du lac, ils avaient discuté, fait connaissance. Kerowin se sentait bien avec lui. C'était une sensation qu'elle n'avait pas ressentie depuis longtemps.

Maman?

Kerowin ouvrit les yeux. Elle était assise sur l'appuie de fenêtre, perdue dans ses pensées. Loann se tenait devant elle avec Hector dans les bras et les autres enfants, moins Constance, derrière elle.

Qu'est-ce qu'il y a?

Kerowin sourit à celle qui était désormais sa fille et descendit de son perchoir. Elle allait jouer un peu avec les enfants, ça lui changerait les idées.

Venez. On va jouer à Colin-maillard. ça vous dit?

Les enfants approuvèrent en battant des mains et tout le monde prit le chemin de la grange.

Kero! Sorka et Elen sont revenus.

Kerowin leva les yeux du parchemin qu'elle était en train de lire. Klara se tenait devant elle, les 5 autres enfants bien alignés à sa suite. Ils avaient tous de la paille dans les cheveux et les vêtements en désordre. Il faut dire qu'ils avaient passé la journée dans la grange, comme d'habitude. Ils avaient trouvé un nouveau jeu très marrant qui consistait à sauter d'en haut sur un épais tapis de paille. évidemment, les animaux étaient conviés à participer et Salomon s'en donnait à coeur joie, même si les enfants estimaient qu'il trichait parce qu'il se servait de ses ailes. Par contre, Ulysse et Hector avaient très vite disparu de la circulation, allez savoir pourquoi, et Kerowin les hébergeait quotidiennement dans divers endroits de ses robes.

Sorka est revenue! reprit Klara.

J'ai bien compris.

Kerowin extirpa les deux rats de leur cachette et se leva;

D'abord, vous allez tous faire un brin de toilette, même toi Loann, et ensuite on va aller chez Sorka. Allez! Au bain.

Kerowin poussa tout son petit monde vers l'escalier, et même s'ils le montèrent en courant, ils leur fallut bien un bon moment avant de le redescendre, le temps que tout le monde sorte de l'eau et que Kerowin éponge un minimum les dégats.

Bon, cette fois, c'est bon. On y va.

Kerowin était en train de se réveiller tranquillement, quand quelque chose qui ressemblait à une tornade déboula dans sa chambre et sauta sur le lit en criant.

Bonjour maman!

Kerowin poussa un cri de surprise et se redressa.

Loann!

La fillette lui sauta au cou pour lui faire un câlin. Kerowin passa la main dans ses boucles blond-roux toutes ébouriffées. Elles avaient besoin d'un bon coup de brosse. Elle serra sa fille très fort dans ses bras.

Quelqu'un va venir nous voir aujourd'hui, commença Kerowin.

Loann fronça les sourcils.

Qui?

Dark. Il veut faire ta connaissance, alors tu ne t'enfuira pas chez Sorka, d'accord?

La fillette acquiesça et Kerowin l'embrassa. Puis elles se levèrent et descendirent déjeuner à la cuisine.

dark arriva devant la maison de kerowin , il s etait un peu perdu dans le quartier , mais en demandant son chemin il arriva a destination .
avant cela il avait pris soin de faire un tour au marché ou il y acheta des fleurs et une peluche pour la petite loann .

d un geste sur il frappa a la porte .

kero c est moi dark es tu la

et il attendit qu on lui ouvre

Quand elle entendit frapper à la porte, Kerowin se précipita aussitôt pour ouvrir. Dark se tenait sur le seuil, un bouquet dans une main et une peluche dans l'autre. Kerowin s'illumina quand elle le vit.

Bonjour, Dark. Entre donc.

Elle prit les fleurs qu'il lui tendait et les mit aussitôt dans l'eau.

Elles sont magnifiques. Merci beaucoup.

Puis elle ouvrit la porte de derrière et appela Loann qui arriva en courant, suivit de tous les animaux de la maison. Elle se figea à côté de Kerowin et s'accrocha d'une main à sa jupe. Elle faisait sa timide mais elle prit quand même le cadeau que Dark lui avait apporté et lui fit la bise pour le remercier. Kerowin sourit et passa une main dans les cheveux de sa fille.

Allons au jardin, proposa-t-elle.

Elle glissa sa main dans celle de Dark et ils allèrent tous les trois si'nstaller sur l'herbe, au soleil.

il fut ravi de l acceuil de kerowin et loann , ainsi encore plus quand il s apperçu que les fleurs et la peluche avaient fait effet .
c est avec une grande joie qu il suiva la jeune femme et l enfant dans le jardin quand kero lui proposa d y aller

Allons au jardin, proposa-t-elle.


oui avec plaisir

il se laissa guidé vers celui ci la main dans celle de kero et s installa pres d elle dans l herbe

je croie qu il falloir du temps avant que loann m apprivoise , je comprends sa timidité , c est une enfant magnifique et douce
j espere obtenir ca confiance

il regarda un instant la petite en compagnie de ses animaux et
il sourit a kero et lui caressant la main

j ai plaisir a etre a tes coté aujourd hui ,

il se rapprocha d elle et l embrassa en la prenant dans ses bras

tu as un tres jolie jardin dis moi , ? [/url]

Kerowin se blottit dans les bras de Dark et lui rendit son baiser avec passion. Puis elle lui sourit comme il la complimentait pour son jardin.

Je fais ce que je peux. C'est la première fois que j'ai véritablement une maison à moi, alors j'essaye de la faire ressembler à quelque chose. Je suis ravie qu'elle te plaise.

Elle déposa un léger baiser sur ses lèvres et se tourna pour voir où était passée Loann. Elle jouait à l'autre bout du jardin avec Salomon etl e renard blanc qui n'avait toujours pas de nom.

Je crois qu'elle t'aime bien, fit Kerowin en posant sa tête sur l'épaule de Dark.

Tu restes dîner?