Une angoisse, réveille Stone. Il ne sent plus la présence de son épouse.Le lit de son côté est vide.Il se redresse, attend que ses yeux s'aclimatent à la pénombre.IL regarde dans la chambre personne.
Son angoisse grandit. devient une grande inquiètude.
*Pouvu qu'il ne lui soit rien arrivé.* Pensat-il.
Il ouvre les couvertures, s'assied sur le bord du lit, passe ses mains sur le visage pour achever son réveil.
Il se lève et vat vers ses vêtements qu'il enfile.
En douceur ik sort de la chambre descend les escaliers, se dirige vers la cuisine, personne. Il prend un cierge et l'allume, va avec dans les autre pièces, toutes sont vide. Pour se rassurer il remonte à l'étage, ouvre délicatement les portes des chambres de loic et Milene. Non rien pas de traces de son épouse.
Il hâte un peu ses pas et vérifie dans le jardin.
Il ne la trouve nul part. Son ventre se noue,il a un poid dans l'estomac, une crainte immense l'envahit.
Peut-être qu'elle est partie se promener. Oui mais Ou?
Alors comme les enfants dorment profondément? il décide d'aller à sa recherche en ville.
Voila plus d'une heure qu'il arpente les rues, et son angaoisse grandit de plus en plus. car il ne la trouve pas, les quelques fêtards qu'il a rencontrés ne l'ont pas apperçue.
Il va voir le garde au porte de la ville, lui demande si il a vu son épouse dans les parrages. celui-ci lui répond qu'il a bien vu une silouette se diriger vers la rivierre.
*Pourvu que ce soit ma gaya.* se dit Stone pour se rassurer.
Apres cette information il décide de se diriger vers la rivière et de la remonter.
Il remontait la rive quand il aperçu une forme étendue dans les grandes herbes. La pleine lune l'aidait beaucoups pour y voir mieux dans la nuit.
N'étant pas sure que se soit son épouse il avnçat paisiblement vers le corps allongé pres de la rive. Son coeur battait à un rythme rapide, il l'entendait dans ses tempes.Plus il se rapprochait et plus celui-ci s'emballait.
Puis tout d'un coup, il sut, c'est bien elle, elle est la eténdue calme, paisible , un cousin sous la tête.
Pour ne pas l'éfrayer, il chuchotat en s'aprochant.
Ma tendre épouse , tu vas bien?
je m'inquiétais de ne pas te voir chez nous. Voila plus de deux heures que je te recherche. Tu ne peux imaginer la joie de te retrouver, même si c'est dans un lieu insolite.